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Nos différentes campagnes

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Microcapteurs

Cette campagne dirigée par l’ISSeP (Institut Scientifique de Service Public) dans le cadre du plan ENVIeS (http://environnement.sante.wallonie.be/home/expert/plan-envies.html) a pour objectif d’installer dans chaque commune wallonne une station d’évaluation de la qualité de l’air ambiant basée sur des capteurs économes. Ces ministations enregistrent minute par minute la température, l’humidité relative, la pression atmosphérique, les concentrations en différents polluants gazeux (oxydes d’azote NO et NO2, et ozone O3) ainsi qu’en particules fines (PM2.5), et transmettent quasiment en direct les mesures récoltées. Via cette couverture plus dense du territoire que celle du réseau officiel, on espère mieux comprendre les variations spatiotemporelles de pollution atmosphérique et, in fine, mieux évaluer l’exposition de la population à celle-ci. Après une première phase de test d’environ 6 mois, les données seront accessibles sous la forme d’indice sur le site web https://wallonair.be.
Une vidéo tutorielle pour le montage des ministations est disponible ici.

Athènes

Six de nos ministations “Antilope” sont parties en Grèce pour une campagne de mesure air intérieur/air extérieur. Actuellement, les appareils ont été placés sur le site de Thissio, géré par le groupe de physique et chimie de l’atmosphère de l’observatoire national d’Athènes (http://apcg.meteo.noa.gr/index.php/infrastructure/thissio-actinometric-platform). Une étude comparative avec les systèmes Flex de Purple Air y est réalisée avant installation dans et en dehors des bâtiments investigués. C’est Martin Ramacher, partenaire du projet MAMBA de l’ISSeP, qui valorise nos outils au travers de son projet qui a reçu les fonds du programme Horizon 2020 de l’Union Européenne via la bourse 101008004 pour l’activité d’intégration ATMO-ACCESS (https://www.atmo-access.eu/project/).

Marche-en-Famenne

À Marche-en-Famenne, après une première phase d’étude d’un an, où 18 stations avaient été installées, la ville a décidé d’en conserver 7. En effet, les résultats affichant une grande homogénéité à certains emplacements, il n’était pas nécessaire de continuer les mesures en tous points. Grâce aux données récoltées via les ministations, la ville fournit les informations de qualité de l’air à ses citoyens via l’affichage d’un code couleur sur son site web. Plus tard ces informations pourraient être diffusées via des panneaux intelligents. Le code couleur publié est défini grâce à un indice calculé sur base des niveaux de pollution en dioxyde d’azote (NO2), d’ozone (O3) et de particules fines (PMx), suivant la même gradation que l’indice de la qualité de l’air européen (EUaqi). Les paramètres météorologiques (température, pression et humidité relative) sont eux-aussi mesurés.

Liège

17 ministations sont actuellement déployées à Liège. Le but de cette campagne est d’obtenir des informations sur la qualité de l’air à l’échelle des différents quartiers. Les polluants mesurés sont le monoxyde d’azote (NO), le dioxyde d’azote (NO2), l’ozone (O3) et les particules fines (PMx). Les paramètres météorologiques de température, pression et humidité relative sont eux aussi monitorés. Pour ce faire, chacune des stations a été installée à proximité des maisons de quartiers suivantes : Thier à Liège, Place du Marché, Guillemins, Chênée, Grivegnée, Wandre, Bressoux, Glain, Angleur, Outremeuse, Sainte Marguerite, Bois-de-Breux, Rocourt, Sclessin, Sart-Tilman et Jupille. Une station supplémentaire a été ajoutée sur le campus du Sart-Tilman, sur le mât météo de l’ULiège. Cette campagne vise à mettre à disposition les données de la qualité de l’air à disposition des scientifiques dans un premier temps, et ensuite à tous les citoyens, via l’Opendata de la ville de Liège.

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